• Au nom de l’amour

     

    Les penseurs disent que c’est le propre de l’homme

    Et qu’il nous distingue des animaux, en somme,

    Je dis qu’il est tout ce pourquoi l’on existe

    Et que sans lui, rien ne vit, rien ne subsiste.

     


    Au nom de l’amour

     

    C’est un sentiment unique qui nous envahit

    Contre lequel on ne peut résister.

    Il bouscule nos pensées, notre esprit,

    C’est une émotion forte  qu’on ne peut refouler.

     


    Au nom de l’amour

     

    Ses petites ondes nous électrisent

    Pour parcourir notre corps à leur guise,

    Elles laissent une guirlande de bien être,

    Un sourire qui ne saurait disparaître.


     
    Au nom de l’amour

     

    Notre enveloppe charnelle fait des siennes

    Elle rosit en présence de l’être aimé,

    Notre cœur s’alarme comme une sirène

    Répandant une chaleur qu’on ne soupçonnait.



     
    Au nom de l’amour

     

    On est mal à l’aise malgré tous nos efforts,

    On bafouille, on parle trop vite, on perd le nord,

    Nos mains s’agitent, nos entrailles se serrent,

    On n'a plus faim ou on reprend un dessert.



     
    Au nom de l’amour

     

    On revit le passé, nos jeunes années,

    On est maladroits, on doute sans cesse,

    Le regard de l’élu peut nous rassurer,

    On y recherche un bouquet de tendresse.


     

    Au nom de l’amour

     

    On déborde d’énergie et d’idées folles,

    Même les incidents deviennent frivoles,

    C’est difficile de se concentrer pleinement

    Quand notre esprit converge vers nos précieux moments.

     


    Au nom de l’amour

     

    Nos rêves nous mènent aux frontières de l’inconnu

    Où tout est délicat, soyeux et fleuri,

    Le réveil est abrupt, on tombe des nues,

    L’absence de l’autre pèse, notre cœur s’alourdit.



     
    Au nom de l’amour

     

    Mais malgré tout, on se sent pousser des ailes

    En décrochant la plus belle étoile du ciel,

    Le soleil de l’élu nous ramène à la vie :

    « Sans l’amour de l’autre, jamais je ne suis. »


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  • Il part une semaine voir un ami et moi je l’attends, j’espère sa voix, ses mains, ses lèvres…

     

     

    Cet éloignement va à nouveau me peser

    Mais je sais que nous ne pouvions y échapper

    C’est le cœur gros que tu as quitté mon palier

    Et mes yeux rougis t’ont regardé t’en aller.

     

    Je m’étais promis de retenir, contenir

    Tout sanglot ou larme qui pourrait m’envahir

    Je ressasse nos souvenirs, cet élixir

    Que nous buvons jusqu’à plus soif, tous nos désirs.

     

    Pour que le temps passe plus vite sans ta voix

    J’ai surchargé toutes ces journées loin de toi,

    Mais les secondes se prolongent, je me noie

    Et les minutes se lamentent, quel effroi !

     

    Il y a ce vide qui s’installe chaque jour

    Resserrant sa toile autour de mon cœur si lourd,

    Je ne peux rester sourde à cet immense amour

    Lové dans du velours, paré de tant d’atours.

     

    Je ne cesse d’imaginer nos retrouvailles,

    Le bruit de tes clés, la porte qui s’entrebâille,

    Le pouls qui s’accélère, la voix qui tressaille,

    Nos sourires échangés, mon âme qui défaille.

     

    Puis nos mains engourdies se rejoignent, se scellent,

    Je me jette dans tes bras, tu ris de plus bel,

    Nos lèvres livrent ces baisers au goût de miel

    Pour oublier et combler ce manque cruel.

     

    Notre étreinte passionnée perdure longtemps

    Au chant de nos témoignages réconfortants,

    De nos sentiments partagés et rassurants

    De nos câlins échangés inlassablement.

     

    Pour l’heure, j’en rêve, ce n’est qu’illusion

    Mais déjà je ressens tous ces papillons

    Qui s’envolent au creux de mon ventre par millions

    Me chatouillant par leurs délicieux tourbillons.

     


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  • Il y a des instants marquants,

    Des moments forts en émotion

    Qui perdurent à travers le temps

    Au point qu'on en perd la notion.

    Cette journée a été magique,

    Nos invités ont joué le jeu,

    Leurs costumes étaient magnifiques,

    On en prit plein les yeux.

    Merci à vous tous chers amis

    De soutenir notre délire,

    Merci à nos deux familles

    Pour leur bonne humeur, leurs rires.

    Quant à toi, mon tendre époux,

    Merci pour nos épousailles,

    C'était un projet un peu fou

    Qui méritait qu'on l'assaille.

    Un dépaysement total,

    Une incursion dans le passé,

    Une décoration médiévale

    A la lumière des chandeliers.

    Une musique d'un autre siècle

    Accompagnait nos victuailles,

    Alors que sur la piste en cercle

    Nos corps dansant livraient bataille.

    Les surprises étaient inévitables :

    Une pièce de théâtre comique,

    Une danse vraiment inoubliable,

    Une chanson, un poème lyrique.

    Tout était réuni pour que ce jour

    Reste à jamais gravé dans nos esprits,

    Merci aux seigneurs, dames et troubadours

    D'avoir fait rimer amour et magie.


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  • Le soleil de ma vie s’en est allé

    Pour une semaine, une éternité.

    Dès lors, des nuages sombres et glacés

    Ont obscurci mon cœur et mes pensées.

     

     

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    Que faire sans sa lumière bienfaisante,

    Sa douceur, sa chaleur réconfortantes ?

    Tant de souvenirs me taraudent, me hantent,

    Tout me lie à lui de façon permanente.

     

    Son sourire qui magnifie son visage,

    Son tendre regard, un si doux témoignage

    De tout cet amour qu’on s’offre en héritage,

    Sincère, pur, le plus merveilleux partage.

     

     

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    Ici, tout me fait penser à mon ange.

    Chaque pièce me renvoie nos échanges,

    Nos joies, nos peines, un subtil mélange,

    Des morceaux de lui chantent ses louanges.

     

    Alors, j’écoute cette mélodie,

    Je m’y abandonne, elle m’irradie,

    Un bonheur si intense m’envahit,

    Il est près de moi, je sens son esprit.

     

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    Mais le réveil est pénible, il est absent.

    Mes si belles pensées se muent en tourments,

    Ma poitrine se serre indéfiniment,

    Les larmes me montent inéluctablement.

     

    Reviens-moi mon amour, tu me manques tant.

    Chaque seconde traîne, défiant le temps,

    Mon cœur se fait lourd, écrasant, haletant,

    Il a besoin de sa moitié, il t’attend.

     

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  • J’ai peur de cette page blanche devant moi,

    Je sais d’avance que je n’y parviendrai pas ;

    Cela fait des mois que je m’encourage en vain,

    Au fond de moi, ce doute grandit et m’étreint.

     

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    Comment trouver les mots, les bons, les justes mots,

    Mon vocabulaire à nouveau me fait défaut,

    Il n’est pas suffisamment riche pour décrire

    Cet océan de bien être que tu m’inspires.

     

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    Ces vagues mélodieuses, douces, cristallines,

    S’insinuent dans mes tympans, légères, mutines

    Tout comme le chant des sirènes d’autrefois,

    Elles sont le reflet et l’embrun de ta voix.

     

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    Berceuse délicate qui m’endort le soir,

    Réveil enthousiaste pour un nouveau départ,

    Ton aura sonore délimite le temps

    Tout en gommant la distance qui se méprend.

     

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    Et que dire de tes mains et de ces caresses,

    Ce sont des trésors sans fin, des puits de richesses ;

    Comme des sillons de soie, elles me parcourent,

    Je les appelle, les désire, les savoure.

     

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    Leur tiédeur est un baume réconfortant

    Qui relaxe mon corps si subtilement,

    Elle va de concert avec cette douceur

    Dispensant soulagement et tendre chaleur.

     

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    Quant à tes lèvres si subtilement charnues,

    Elles me font fondre, elles me mettent à nu,

    Elles m’attirent comme des écrins divins ;

    Que j’aime y découvrir le bijou en leur sein.

     

    levres.jpg


    Tes baisers dispersés avec tant de tendresse,

    Sont une ode à l’amour dans toute sa largesse,

    Je ne peux résister à tout ce que tu es,

    Je t’aime d’un amour sincère et passionné.


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